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L’expert-comptable se frotte à des questions très diversifiées : tenue de la comptabilité, établissement des déclarations fiscales, comptabilisation des lettres de clôture, traitement des anomalies, mise en place de reportings, de systèmes comptables, d’états de gestion, etc. Il/elle exerce en profession libérale, en cabinet, en vrai nom propre ou sous forme de société, sur des activités d’expertise, d’audit et/ou de conseil. Il/elle peut également rejoindre une entreprise, à une fonctionnalité chargé de comptabilité, financière ou de gestion. Salarié ( e ) d’une entreprise de gestion et de fiscalité AGC, inscrit ( e ) au goût des experts-comptables, il/elle pratique comme en libéral. Régie par l’ordre des experts-comptables, l’activité, distinguée par un titre et un diplôme, est réglementée ( secret professionnel, code de déontologie, procédures et normes professionnelles, contrôle d’activité ), comme pour les experts judiciaires et les commissaires aux comptes avec lesquels elle collabore. Les directives, inspirées par la loi de sécurité financière, sont guidées par des impératifs de sécurité, transparence et contrôle de l’information. Habilité ( e ) à affirmer la régularité et l’honnêteté des comptes, l’expert-comptable/experte-comptable n’est pas lié ( e ) à ses mandants par un contrat de travail. Un titulaire du DEC diplôme d’expertise comptable n’a pas l’obligation de s’inscrire à l’Ordre, contrairement à l’associé ou à l’expert-comptable/experte-comptable signataire. Le périmètre d’action s’élargit : il/elle peut exercer dans l’Union européenne, les diplômes classiques sont plébiscités, les programmes de formation harmonisés, en droit comptable et au plan normatif.

Un expert-comptable est un professionnel titulaire du diplôme français d’expertise comptable, obtenu après un cursus de 8 ans, dont 3 ans de stage en cabinet chargé de comptabilité. Soumis à un code de honnêteté et à des normes professionnelles, l’expert-comptable prête serment lors de son création de compte. La mission du cabinet d’expertise service comptable est de tenir, de garder et d’arrêter la comptabilité des entreprises et des associations ; et d’en assurer la régularité et la souhait auprès des tiers. 20 000 experts-comptables, 17 000 sociétés d’expertise service comptable et 223 associations de gestion et de comptabilité** exercent sur le territoire français. Seul un expert-comptable inscrit à l’Ordre des experts-comptables et figurant dans l’annuaire peut utiliser le titre d’expert-comptable. Un chef d’entreprise peut tenir lui-même sa comptabilité, ou embaucher un comptable. Il peut aussi choisir d’externaliser cette mission, et bien d’autres, à un expert-comptable. la société chargé de comptabilité intervient en appui à chaque phase de la vie de l’entreprise ou de l’association. Agissant comme un expert auprès des dirigeants de l’organisation, l’expert-comptable les conseille et les dans leurs choix stratégiques et dans la mise en place opérationnelle. La mission d’expertise service comptable est institutionnel, visant à assouplir la complexité administrative en terme juridique, fiscale, sociale, comptable et patrimoniale.

La France compte plus de 16. 000 experts comptables. Ils pratiquent soit en libéral soit comme salarié dans une entreprise. Avant d’ouvrir votre propre cabinet, il est plus judicieux de avoir travaillé quelques temps en tant que employé dans une société. Être à son compte demande un grand sens des responsabilités et de posséder de nombreux contacts. Vous serez autonome et organiserez votre agenda avec vos clients. Vous pouvez vous accorder à d’autres experts comptables. la profession peut s’entraîner dans le secteur public ou en métier de gestion et fiscalité. Une profession prenante avec des horaires irréguliers et de nombreux trajets, où il faut savoir concilier carrière et vie personnelle. Pas de direction unique pour se constituer au métier. On peut démarrer avec un bac ES, S, STMG ( sciences et techniques du management et de la gestion, option CFE, comptabilité et finance de la structure ) ou parfois un bac L, option maths. Le DCG ( récipient 3 ) comporte des matières théoriques ( maths, économie… ) et techniques ( fiscalité, comptabilité, droit, gestion… ). En DSCG ( bac 5 ), vous approfondirez vos connaissances. Puis, vous effectuerez un stage de trois ans rémunéré dans professionnel avant de passer les épreuves finales menant au DEC ( bac 8 ).

Un litige est a même de survenir lors d’une expertise service comptable, le conflit intervient souvent à propos des honoraires ou du devoir de conseil, car ce technicien ne doit pas se contenter de contrôler, il est tenu de donner des informations à les entreprises sur leur situation. Ces dernières ont la possibilité de saisir une Chambre régionale de l’ ordre des experts. En appel, la chambre nationale de discipline doit trouver de résoudre la difficulté. En cas de manquement déontologique de la part d’une association de gestion et de fiscalité ( AGC ), toute personne lésée est en mesure de saisir la commission nationale de discipline, juge de première instance. Tous les chefs d’entreprise ne sont pas des spécialistes de la fiscalité, du fisc, des obligations sociales, etc. de plus, ces aspects administratifs sont gourmands en temps au détriment des critères de conception et de distribution. Recourir à un expert-comptable est une solution souvent retenue pour réaliser ces tâches de soda. Véritable partenaire chaque jour de l’entreprise, ses prestations s’inscrivent dans un climat de confiance avec le ( s ) directeur ( s ) de celle-ci. Un expert-comptable est détenteur du diplôme d’expertise-comptable ( DEC ), qui est présenté par les qualifié en fiscalité et gestion ( DSCG, de niveau bac 5 ) ayant déjà une expérience de 3 ans en entreprise ou dans d’expertise chargé de comptabilité. Il doit, de plus, être inscrit à l’Ordre des experts-comptables.

Le recours à un expert-comptable n’est absolument pas obligatoire pour tenir sa comptabilité. Mais, à moins d’avoir de costauds connaissances en fiscalité, il est particulièrement recommandé de solliciter un professionnel de la fiscalité. Celui-ci va tenir la comptabilité, contrôler les comptes au moment de la clôture , et ensuite réaliser les comptes annuels ( bilan, compte de succès, annexes ). Ce qui atténue fortement les risques de supporter un redressement de l’organisme fiscale ou de l’URSSAF. Si l’expert-comptable commet une erreur, c’est en effet lui qui devra en assumer les problèmes et pas l’entreprise. Le préjudice subi sera pris en charge par son assurance responsabilité civile professionnelle ( obligatoire ). L’expert-comptable peut se charger des démarches et des formalités de création de la société : rédaction des statuts, publication d’une annonce dans un journal d’annonces légales, dépôt du dossier de votre fauteuil de conception au CFE…Une fois l’entreprise développée, l’expert-comptable peut être habilité à réaliser les papiers liés aux différentes obligations légales de l’entreprise : rédaction des procès-verbaux des assemblées générales, mise à jour des statuts, établissement des bulletins de paie et de plusieurs actes…Mais, surtout, un expert-comptable peut exercer la mission de tiers de confiance. Cette mission lui permet de concevoir des démarches pour le compte de la société : réalisation des déclarations sociales et fiscales, transmission des pièces justificatives aux administrations…

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